Quand quantité rime avec qualité 98 triplettes ont répondu à l’invitation de la Pétanque Villefranchoise. Le président Michel Guilhem est ravi. 10 heures approchaient et les sourires étaient déjà sur tous les visages. A la clôture des inscriptions, l’essai était transformé et il ne manquait que 2 triplettes pour atteindre la barre symbolique de la…
5e National Vétérans « Jean-Trébosc » à Rodez
Les Lotois d’Enocq privent la triplette Pelloux d’un triplé historique Enocq, Glorian et Baronio, les 3 sociétaires de Bedu!er (46) ont inscrit leur nom au palmarès d’une épreuve ruthénoise qui monte incontestablement en puissance. Baronio, Glorian et Enocq : trio gagnant de cette 5e édition Quatre petits points. Voilà ce qui a manqué à Alain…
5e National vétérans « Jean-Trébosc » à Rodez
Les têtes d’affiches tiennent leurs rangs, les premiers chocs vont faire des dégâts
Parmi les premiers éliminés, citons les triplettes Alonso, Steis ou encore Ferrand. Les principaux autres gros bras poursuivent leur bonhomme de chemin. Jusqu’à quand ?
Sous un soleil enfin de saison, cette 5e édition du National vétérans « Jean-Trébosc » s’est poursuivie ce jeudi après-midi dans- et autour du boulodrome René-Blanc et du stade Louis-Polonia. Toutes les équipes favorites sont logiquement sorties de poules même si certaines ont du passer par la case repêchage. Ce fut notamment le cas de la formation emmenée par un certain Max Camps battue d’entrée par les Villefranchois Nogaret, Llavès et Servières. Mais l’Agenais n’a pas tardé à prendre sa revanche en écartant le président du Comité Départemental de l’Aveyron lors de la partie de repêchage.
Une autre équipe qui a souffet dès les parties de poule, celle du champion de France triplette en titre, Jean Michel Ferrand, associé pour l’occasion à Gérard Pariset et Jean-Pierre Barbero. Les trois Toulousains ont longtemps galéré face à d’autres Aveyronnais, ceux de Routaboul, Viargues et Goutte (4 à 10) avant de s’imposer finalement sur la plus petite des marges (13 à 12). Bis Repetita à la seconde partie toujours face à des Aveyronnais, ceux de Marragou cette fois (13 à 11). Ces difficultés ne cachaient rien de bon et la sentence tombait dès la seconde partie après poule face à la formation montalbanaise menée par un certain Louis Steis, joueur bien connu des pétanqueurs aveyronnais en général, villefranchois en particulier (13 à 6). Le problème, c’est que les Tarn-et-Garonnais avaient visiblement beaucoup de mal à digérer cette victoire, méconnaissables qu’ils furent dès la partie suivante. La route de Steis-Dumeaux-Bringer s’arrêtait là.