Premier championnat de France pour la famille Costes ! Battus en demi-finale par les futurs champions Diaz – Archimbeaud – Salerno, nous affrontons Catusse – Lafon – Contrino en finale pour la 3e place. La victoire (13 à 8) nous qualifie pour Avignon. Une première pour mon frère et moi. Notre victoire lors des éliminatoires…
Bruits de cadres
Nouvelle adresse mail Victimes d’un nouveau piratage de notre compte gmail, et dans l’attente de retrouver (peut-être) notre ancienne adresse de messagerie, nous avons été obligés de créer un nouveau contact. Merci, désormais, de nous faire parvenir vos différentes infos, et notamment les résultats de concours et de tours de Coupe de France, à l’adresse…
Championnat triplettes féminines et promotion ce week-end au Nayrac
Une participation en forte baisse
Le phénomène est marqué chez les féminines, encore plus chez les seniors promotion. Les raisons ? Elle sont à la fois d’ordre géographique et d’ordre financier.
Moins 14 (soit – 26%) chez les filles. Moins 34 (soit – 28%) chez les garçons. Les chiffres, pris par rapport à une année 2014 qui avait déjà été marqué par une baisse sensible de la participation, ne sont pas bons. Ils sont même mauvais. La faute à qui ? La faute à quoi ? Ce n’est la faute à personne en particulier. C’est plutôt un cumul de facteurs. Prenons l’exemple des seniors Promotion. Est-ce judicieux de les envoyer à Camarès pour le qualificatif LIgue puis au Nayrac pour la finale départementale ? Oui, si on veut leur faire réviser la géographie aveyronnaise. Sans doute pas si on veut vraiment leur donner envie de se mobiliser. Se déplacer aux extrémités du département est fatiguant. Et puis cela coûte cher. Il y a l’essence, le restaurant, éventuellement l’hôtel. Sans oublier les coups à boire pour lesquels le billet de 10 euros n’est pas de trop quand les compétitions se jouent en triplettes. Une journée de championnat loin de ses bases, cela coûte cher et une majorité de familles aveyronnaises n’a pas les moyens de s’en payer une tous les week-ends. C’est malheureux mais c’est comme çà. Ajoutez à cela des terrains qui ont été conçus pour le jeu de quilles et non de boules et terminez par une météo qui, à cette saison, fait toujours craindre le pire…, et vous avez sans doute là la recette d’un programme que l’on aurait aimé plus attractif.