Dossier : quid des boulodromes couverts en Aveyron ?

Ouverture ponctuelle ou généralisée pour certains, fermeture sine die pour d’autres, chacun fait comme bon lui semble

Le 1er octobre est traditionnellement le jour de rentrée des boulodromes couverts en Aveyron. Crise de la COVID oblige, cette rentrée sera loin d’être uniformisée cette année dans un département qui compte à ce jour quelque 10 structures couvertes répartis sur l’ensemble des 6 districts.

IL y a ceux qui ont anticipé et qui, parce qu’ils ont parfaitement conscience que l’automne qui est déjà là et la saison hivernale qui suivra seront forcément synonymes de chômage au moins partiel, ont déjà rangé les boules et ont même prévu des plan B, histoire d’éviter de se morfondre affalés sur le canapé. Il y a ensuite ceux qui veulent à tout prix positiver et qui se refusent à envisager le pire, c’est-à-dire des semaines entières sans taquiner le bouchon et frapper des boules. Ceux-là espèrent tout simplement une maitrise globale de la fameuse pandémie et un allègement progressif des mesures restrictives qui fleurissent ici et là. Pour faire court, ceux-là n’attendent qu’une chose, que les boulodromes couverts re-ouvrent leurs portes. Enfin, il y a ceux, et ils sont sans doute les plus nombreux, qui se posent beaucoup de questions et qui restent dans les plus grandes expectative et incertitude. Bref, vous l’aurez compris, le sport en général et la pétanque en particulier naviguent en ce moment dans la plus glorieuse incertitude. C’est notamment le cas en Aveyron, territoire qui abrite à ce jour une dizaine de boulodromes couverts. Pour faire le point sur la situation à la veille de l’ouverture officielle de ces structures qui accueillent, quelque 7 mois durant l’année, plusieurs centaines de personnes au quotidien, nous avons contacté les Amicales et autres Associations gestionnaires de ces boulodromes couverts. Merci à tous nos interlocuteurs qui, de Lacroix-Barrez jusqu’à Saint-Affrique en passant par Villefranche, Capdenac, Les Albres, Viviez, Millau, Creissels ou encore Réquista, ont bien voulu répondre à nos questions.

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